Die Schweiz will die Energiewende. Energiewende heisst konkret, Energie effizienter zu nutzen und die erneuerbare Stromproduktion auszubauen. Photovoltaik-Anlagen sind ein Element dieser Strategie. Deshalb wird der Bau dieser Anlagen über kostendeckende Einspeisevergütungen gefördert. Wer also eine Photovoltaik-Anlage installieren und betreiben möchte, kann bei Swissgird einen Antrag auf Förderung stellen. Da der Förderungsfond plafoniert ist, gibt es eine Warteliste für Projekte dieser Art. Das UVEK hat die Einspeisevergütung allein in diesem Jahr drei Mal gesenkt. Das ist sicher ein richtiger Schritt angesichts des Preiszerfalls für Solar-Module. Ausserdem kommen durch die gesunkene Vergütung mehr Projekte in den Genuss einer Förderung – ein wesentlicher Beitrag um die Verbreitung der Photovoltaik-Anlagen zu fördern.
Subventionen müssen gegenfinanziert sein, wer also zahlt die Rechnung?
Es zahlen die Stromkonsumentinnen und -konsumenten via KEV-Zuschlag (KEV = kostendeckende Einspeisevergütung), aktuell 0.45 Rp./KWh. Aus diesem Grund erscheint es mir wichtig, eine gesunde Relation herzustellen zwischen dem Ziel mehr Photovoltaik-Anlagen installieren und andererseits auch keine unnötige hohe Belastung der Verbraucher herbeizuführen. Sollte auch ein massvoll erhöhter KEV-Zuschlag nicht ausreichen, die angestrebten Ziele zu erreichen, sollten aus meiner Sicht andere Lenkungsmassnahmen erwogen werden. Denkbar wäre beispielsweise eine staatsquotenneutrale Lenkungsabgabe auf Strom.
Die vom UVEK bewilligten Einspeisegebühren erscheinen immer noch hoch im Vergleich zu beispielsweise Deutschland. Allerdings steckt in der Schweiz die Photovoltaik mengenmässig noch in den Kinderschuhen. Vor dem Hintergrund, dass wir alle den Preis dafür bezahlen, ist aber ein sorgfältiger Umgang mit diesen Geldern nötig. Insofern geht der heutige Entscheid des UVEK in die richtige Richtung, zumal so die Gelder auch breiter verteilt werden können – immerhin besteht nach wie vor eine Warteliste.
Bildquelle: www.flickr.com, Steamtalks Solar
INHALTSÜBERSICHT/ CONTENU/ CONTENUTO
1. MELDUNGEN/ COMMUNICATIONS/ COMUNICAZIONI
- Fernmeldegesetz: Preisüberwacher erfreut über Revisionsabsicht
Loi sur les télécommunications : le Surveillant des prix accueille favorablement la volonté de révision
Legge sulle telecomunicazioni: il Sorvegliante dei prezzi accoglie con favore il proposito di revisione
- Convention concernant les tarifs d’Eauservice Lausanne – réduction du prix de l’Eau, notamment pour l’Economie locale
- Einvernehmliche Regelung mit der Valora betreffend Handelsmargenmodell – Preisüberwacher nimmt Gutschein-Aktion der Valora bei ausländischen Zeitschriften zur Kenntnis
- Tarifmassnahmen Post
Le Conseil fédéral a approuvé le principe d’une perception annuelle de la redevance de réception radio et télévision. Les économies dues au passage d’une facturation trimestrielle à une facturation annuelle ont été estimées entre 9 et 10 millions de francs. Une nouvelle réjouissante.
En tenant compte du fait qu’il peut y avoir des clients qui préfèrent recevoir la facture tous les trois mois, le Conseil fédéral a assorti sa décision de la possibilité du maintien d’une facturation trimestrielle contre une majoration de 2 francs par facture, soit 8 francs par année pour les coûts supplémentaires.
Nous avons aussi été contactés dans l’élaboration de ce projet. Dans le cadre de l’analyse, nous avons constaté qu’une part importante des frais de facturation (impression, envoi, encaissement) est due au paiement en espèces au guichet de la poste. Les clients n’en sont pas conscients étant donné que ces frais sont pris en charge par le bénéficiaire. Ainsi, pour un versement entre Fr. 100.- et Fr. 1'000 par bulletin orange au guichet postal, ces frais s’élèvent à Fr. 1.75 pour le destinataire du paiement. Aujourd’hui, sur trois millions de personnes soumises à la redevance, environ un million de personnes s’acquittent de leur redevance radio tv au moyen d’un versement en espèces au guichet de la poste. Les 8 francs de majoration lors d’une facturation trimestrielle sont donc justifiés, si les hypothèses lors de la calculation s'avèrent justes dans le futur.
Qu’en est-il de ces Fr 1.75 pour le versement ? La Surveillance des prix s’est penchée sur la dernière modification des taxes pour les versements en espèces au guichet postal intervenue en 2007. L’analyse n’avait pas révélé d’indices d’augmentation abusive de prix, l’adaptation étant motivée par la couverture des coûts. Néanmoins , comme les coûts du versement sont pris en charge par le bénéficiaire, il n’y a aucune incitation pour le client à utiliser – dans la mesure du possible – des moyens de paiement meilleur marché – comme par exemple le paiement électronique, l’ordre de paiement, etc. . La Surveillance des prix avait déjà suggéré en 2007 à la poste d’examiner le système de prise en charge des coûts des transactions faites au guichet postal.